Concours « Ecrits pour la fraternité »

Nathan est partenaire de la Ligue des droits de l’Homme à l'occasion de la remise des prix nationale qui aura lieu le 22 juin à Paris.

Chaque année, depuis 1991, la Ligue des droits de l’Homme organise le concours national « Ecrits pour la fraternité », anciennement appelé « Poèmes et lettres pour la fraternité ». Le concours est ouvert aux classes de grande section de maternelle, de primaire, de collège, de lycée, d’établissement spécialisé mais aussi aux centres de loisirs et aux individuels. En proposant aux enfants et jeunes de s’exprimer librement sur un thème lié aux droits de l’Homme, la Ligue des droits de l'Homme souhaite apporter sa contribution à la formation de celles et ceux qui seront les citoyens de demain. 

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Quel thème ?

Depuis 1997, les créations soumises à la sélection des jurys (au niveau local puis national) doivent répondre à une thématique commune, liée à une question de société. En revanche, la forme de l’œuvre est libre (texte en prose, vers, dialogue, dessins, graphismes, vidéos, musiques etc.). Le concours peut ainsi s’inscrire dans les activités ou projets pédagogiques organisés par les enseignants. 

Pour l’année 2018-2019, le thème est l’égalité : « L’égalité mes frères n’existe que dans les rêves mais je n’abdique pas pour autant » (chanson Le bruit et l’odeur de Zebda), 

Quel intérêt ?

 - Contribuer à former de manière ludique les citoyens de demain.
 - Susciter la réflexion et l’expression chez les enfants et les jeunes sur un thème touchant à la fraternité, à la solidarité, en les invitant à créer des œuvres originales, personnelles ou collectives.
 - Réunir autour d’un même thème des personnes d’horizons différents : jeunes, parents, enseignants, éducateurs, militants associatifs, élus municipaux…
 - Établir des liens durables entre ces différents acteurs au niveau des quartiers et des villes dans un même souci de faire vivre la démocratie et d’animer la vie dans la cité.
- Permettre aux élèves des établissements spécialisés (IME, IMPRO, EREA, ITEP) de dépasser leur handicap grâce à ce concours qui est à la fois l’occasion d’un éveil à la citoyenneté et d’une initiation artistique.

Quel public ?

Chaque année, ce sont entre 2 000 et 4 000 jeunes et plus d’une centaine d’établissements scolaires qui participent au concours dans toute la France.
Le concours n’est pas exclusivement réservé aux établissements scolaires mais est ouvert à l’ensemble des structures œuvrant avec des enfants / adolescents. Ce concours s’adresse aux enfants et aux jeunes de la maternelle au lycée ainsi qu’aux élèves des institutions spécialisées. 

La remise des prix nationale : rendez-vous le 22 juin !

Dans chaque catégorie, les oeuvres individuelles et collectives seront primées séparément. Les oeuvres écrites, graphiques, plastiques, vidéographiques et musicales seront primées de façon confondue. Une fois le jury réuni, les lauréats seront ensuite invités, le 22 juin au siège social de la MGEN et où leur seront remis des lots (livres, BD, jeux éducatifs, papeterie, CD, places de parcs
zoologiques…). Pour chaque oeuvre primée (individuelle et collective), le siège finance en principe l’équivalent d’un aller-retour en train 2de classe pour un enfant et un adulte accompagnateur.

Qu'est-ce que la Ligue des droits de l’Homme ?

logo-ldh.jpgLa Ligue des droits de l’Homme est une association généraliste attachée à l’universalité et à l’indivisibilité des droits politiques, économiques, sociaux et culturels. En faisant référence, dès le premier article de ses statuts, à la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789, mais aussi à celle de 1793, auxquelles se sont ajoutées la Déclaration universelle de 1948 et la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales de 1950, la LDH entend bien affirmer que, pour elle, la liberté ne se divise pas, alors même que la démocratie est souvent malmenée, en raison d’une situation de crise politique, économique ou sociale. L’ambition généraliste de la LDH l’amène ainsi à être présente sur de nombreux terrains et à prendre toute sa place dans bien des combats. Aujourd’hui comme hier, elle ne se contente pas de dénoncer les injustices mais s’efforce de promouvoir la citoyenneté politique et sociale de tous et de garantir l’exercice entier de la démocratie.

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